miércoles, 24 de marzo de 2010

Je n'habite pas une langue, je habite la poesie

Un n'habite pas une langue,
on habite la expression, la sonorité,
on se déplie sur les mots
commet petites îles de souhiates.

Une langue n'est pas une patrie
la patrie ce la poesie,
je me decouvrais dans les verses,
qui sont champs ouverts de l'imagination,
oú le pensée se rejete au mer de signification infinite.

La langue n'est pas un organe du conaissance
sans sense, qui se sent en le mot, le mot a des lumiéres
que se allumer au parler, parler pour signifiquer.
J'ai dit que je habite la poesie,
la langue c'est un accord contextuale,
mais je peux dire mois du dit,
le poeme signifique vraiment,
plus que je peux dire.

Le langage c'est le limite du monde,
mais le poesie toujours échappe la realité
ne trouve pas le monde, ne le cherche jamais,
la lange est un accord authoritaire,
un joug de la passion poetique,
on parle comme en naviguant pour les mers retirés
en craquelant les fronteires du sens.

La fleur c'est la même en toutes les langes
là-bas de la signification,
un poeme ne se traduit pas
un poeme se sent, se vivre, entendre.

Le monde n'est pas seulement circulaire.

3 comentarios:

Anónimo dijo...

tu contiens dans ton ceil le couchant et l`aurore; Tu repands des parfums comme un soir orageux; Tes baisers son un philtre et la bouche une amphore Qui font le hèroes läche l´enfants courageux

palabras de baudeliere para definir la belleza pero son sensaciones que se tienen con la poesia

En tus ojos contienes la aurora y el ocaso; cual tormentosa noche tù derramas perfumes; Tus besos son un filtro y una ànfora tu boca que al niño envalentona y acobardan al heroe

Poeta Nómada dijo...

En parlant des gents qui pensaient que l'unique patrie etait la langue.
Pero ellos pensaban que la única patria era la lengua, era todo lo que se podía habitar. Para uno que es marinero del lenguaje, esa patria castellana mía es uno de tantos horizontes que deseo hacer míos,

Reptante dijo...

Tengo una duda, ya sabes, es que soy bien ignorante. ¿Este poema que acá se toca es tuyo?.. Y si sí, y si tal vez no, pues de todas formas me gustaría que me lo pasaras en castellano o a lo menos en inglés para poder entenderlo. Ya sabes... soy gente de barrio y apenas digiero en español. No seas malo, por ahí como que entiendo algunas cosas que me suenan bastante interesante.

Gracias de antemano.